Football, racisme, hymnes, laïcité et solidarité

La Coupe du monde de football fut créée en 1928, grâce à une idée du français Jules Rimet, alors président de la FIFA. Après 86 ans de parties, le racisme est encore un problème que le sport dans le monde doit affronter, particulièrement le football. Récemment, pendant le partie entre Villareal et Barcelona, un supporteur lança une banane à Dani Alves, joueur brésilien de Barcelone qui a alors ramassé le fruit et l’a mangé. Son coéquipier Neymar, a lancé une campagne et a invité ses fans à publier des photos d’eux en train de manger une banane avec le hastag « nous sommes tous des singes ». Beaucoup de stars du ballon aussi ont imité le geste. Mais c’est seulement l’un de nombreux épisodes de racisme dans le sport. 

Dans un article de Le Monde de la semaine dernière (http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/06/12/pour-une-separation-du-football-et-de-l-etat_4436969_3232.html ), un journaliste lance une provocation, la séparation des sports et de l’Etat, et il dit que la France doit être inspirée pour la laïcité face aux religions. Il dit qui il y a trop de patriotisme dans le football en France: « le maillot est bleu, le short est blanc et les chaussettes sont rouges » et il affirme que l’hymne crée tension et il conclut que « il faut bannir drapeaux, hymnes et équipes nationales … et remplacer les signes extérieurs de patrie pour s’en tenir aux dénominations des clubs et formations sportifs, ou bien aux noms des sponsors comme cela se pratique dans la voile, les courses automobiles et d’autres disciplines sportives ». 

Le pape François, un ardent amateur de football, à l’occasion de la Coupe du monde en Brésil, a transmis un message : il veux qui le football es d’exemple pour le travail d’équipe et la solidarité, au lieu d’être un véhicule de racisme. Le pape dit que le football enseigne trois leçons qui permet de promouvoir la paix et la solidarité : il faut s’entrainer pour atteindre des objectifs, el fair-play et le travail d’équipe sont très important ainsi que le respecte de l’adversaire.

Je pense que l’abolition de les drapeaux et de les hymnes n’est pas suffisant pour combattre le racisme dans le sport. Les équipes nationales doivent préserver leur individualité, chaque avec ses hymnes, drapeaux et  maillots avec les couleurs nationales, et enseigner, comme a dit le pape, qui on peut construire la solidarité malgré les différences. Le résultat final sera qui si on apprend à appliquer les règles de un sport juste dans la vie quotidienne, tout le monde sera le gagnant.