Tuesday, 29 July 2014

Les expressions idiomatiques comparées



Chaque fois que j’apprends une langue, j’aime chercher les expressions idiomatiques les plus utilisés et les comparer avec les autres langues. Cette semaine, Patricia nous a donné un livre sur les expressions idiomatiques françaises et je voudrais les partager avec vous. 



Déjouer sur le pouce… (having lunch on the thumb): c’est une façon pour dire « manger quelque chose rapidement ».
En revanche, en italien on dit « mangiare qualcosa al volo », c’est-à-dire « manger quelque chose en volant ».











Si les pinailleurs anglaises cherchent les poux (nitpicking), les pinailleurs françaises cherchent la petite bête, les italiens cherchent le poil dans l’œuf (cercare il pelo nell’uovo) et les espagnoles cherchent la cinquième patte du chat (buscar la quinta pata al gato).








Si on passe d’un sujet à l’autre sin connexion logique entre eux, en France on saute du coq à l’âne, mais en Italie on passe d’un poteau à la branche (passare di palo in frasca) et les espagnoles van pour les collines d’Úbeda (irse por los cerros de Úbeda).















Quand on fait beaucoup de choses au même temps, en France on cour deux lièvres à la fois mais en Angleterre on a un doigt dans plusieurs de gâteaux (have one’s finger in more than one pie). Les italiens, qui aiment cuisiner, mettent trop de viande sur le feu (mettere troppa carne al fuoco).















Quand ils ont peur ou ils ont froid, les françaises et les espagnoles ont la chair (flesh) de poule, mais les italiens et les anglaises ont le peu de l’oie.







En France, quand on fait le poireau, ça signifie que vous avez attendu à quelqu’un beaucoup de temps. Au contraire, les italiens mettent les racines (mettere le radici) mais les espagnoles ont reçu une « plante » (tener de planton a alguien).





Il y a aussi une expression pour les professeurs : quand on donne une retenue à un élève, en France « se les collent ».

Es-que ce vous connaissez d’autres expressions idiomatiques ?

Wednesday, 23 July 2014

Une brève histoire du rôle des femmes en France



Comme en classe nous avons parlé du film “Populaire” et du rôle de la femme dans la société française pendant les années 1958-1959, j’ai fait un peu de recherche sur les évènements historiques les plus importants pour éliminer les disparités entre les femmes et les hommes.
Le rôle que les femmes ont eu pendant beaucoup de temps peut être résumé avec une phrase de Napoléon : la femme doit obéissance à son mari. 
Avant la seconde guerre mondiale, la femme était liée à la famille : elle était la mère au foyer et elle devait gérer la maison et faire des enfants. En effet, dans les écoles, les femmes apprenaient la couture, le repassage, le lavage, la cuisine, etc.
Toutefois, avec la guerre, comme il n’y avait pas de la main d’œuvre parce que les hommes étaient au front, les choses changent et toutes les femmes sont obligées à travailler. Mais ça ne durera pour toujours. Ainsi, après la guerre, la femme rentre au foyer.
Comme on a vu dans le film, il y avait des concours sur les activités typiques de la femme. Dans ces concours, les femmes devaient faire des tâches domestiques et elles pouvaient gagner des appareils électroménagers.
Même la publicité des électroménagers incitait la femme à être une bonne ménagère: 


Si la femme était la reine du foyer, l’homme était le chef de famille, donc les femmes devaient avoir leur autorisation pour ouvrir un compte bancaire ou pour faire toutes les choses que pouvaient les rendre indépendantes.
Graduellement, les femmes obtiennent le droit de vote le 21 avril 1944 et la réforme du régime matrimonial en 1965, qui permet aux femmes de gérer leurs biens ou ouvrir un compte bancaire sans l’autorisation de leur mari.
Un des les mouvements féministes les plus importants en France est le MFL, le Mouvement de Libération des Femmes, né dans les années 70. Sa première action a eu lieu le 26 août 1970, quand un groupe de femmes déposent sous l’Arc de Triomphe une gerbe « à la femme du soldat inconnu » parce que « il y a plus inconnu que le soldat inconnu, sa femme ».
Grâce à ce mouvement, on a obtenu des avances importants pour les femmes comme « les réformes du droit à la maîtrise de la fécondité, l’égalité professionnelle et parentale, la loi sur la parité » (Wikipedia).
Cependant, la lutte des femmes pour l’égalité n’est pas terminée. Aujourd’hui, il y a encore des disparités salariales entre les hommes et les femmes. Par exemple, les femmes ne sont pas très représentées dans le monde politique. En effet, en France la loi du 6 juin 2000 oblige aux partis politiques de présenter au moins 50% de candidats de chaque sexe. S’ils ne respectent pas cette loi, ils doivent payer une amende. J’été surprise de lire qui les partis politiques les plus importants préfèrent payer l’amende !
Donc, le chemine est encore longue !    

Vocabulaire utile :
évènements historiques : historical events
foyer : home, fireplace
repassage : ironing
main d’œuvre : workforce
compte bancaire: bank account
gerbe: spray of flowers

Thursday, 17 July 2014

De Nittis: le peintre des parisiennes



Est-ce que vous connaissez Giuseppe De Nittis ? Il était un peintre impressionniste très important dans le siècle XIX. Né à Barletta, dans ma région, en 1846, ses parents étaient des riches propriétaires terriens. Mais tôt il perdre son père et sa mère. Quand il avait seulement 15 ans, il entre dans l’académie de Beaux-arts de Naples mais il n’accepte pas l’enseignement académique parce qu’il préfère la liberté, donc il décide être maitre de même et il commence aussi à se consacrer à la peinture de paysage. Ensuite, il voyage en Italie mais en 1867 il arrive à Paris, où il connaît le marchand d’art Goupil. Deux ans plus tard il s’épouse avec Léontine, originaire de Blois, qui apparaîtra dans plusieurs de tableaux.

Si au debout son style a été très critiqué parce qu’il se ressemblé au style d’autres peintres français, plus tard il commence à chercher sa indépendance. En 1874, il expose à la première exposition impressionniste. En effet, il était ami de beaucoup de peintres impressionnistes, comme Degas et Manet, et en plus, son salon était fréquenté par Maupassant, Oscar Wilde, la princesse Matilde Bonaparte et Zola. De Nittis été très fier de ses plats italiens et on dit que ses invités aimaient ses lasagne !

Il rentrera en Italie beaucoup de fois, par exemple avant la guerre franco-prussienne. Après la guerre, il rentre à Paris, dont il peinte les rues, les boulevards, les places et les parcs. En plus, il faisait souvent des voyages à Londres, dont il a pinté les rues mais aussi Hyde Park et le West End. Un bancaire lui avait commissionné beaucoup de tableaux parce qu’il voulait les laisser à la National Gallery mais les œuvres ont été dispersé par ses héritiers et maintenant se trouvent dans des collectionnes privées.

De Nittis et Paris

De Nittis savait que pour conquérir les parisiens il devait les mettre au centre de ses œuvres. Pourtant, il les représentait dans leur milieu social, cet a dire pendant les activités bourgeoises typiques de cette époque.
En effet, dans ses tableaux, les parisiens sont représentés en train de faire des promenades aux Champs-Elysées, qui était le quartier le plus élégant de Paris, mais aussi en train de voir les courses hippiques, qui étaient très populaires pendant le Second Empire. En réalité, les courses étaient une occasion pour se montre plutôt que voir l’évènement. De Nittis était connu comme le peintre des parisiennes : en effet, il était un de meilleures observateurs de la société française et, en particulaire, des femmes parisiennes qui, à partir de 1865 étaient considérées comme la suprême représentation de l’élégance et de la mode. 

Par exemple, dans le tableau que j’ai choisi, « Aux courses d’Auteuil », les spectateurs sont plus importants que les courses, qui n’apparaissent pas. Il y a une femme très élégante debout sur la chaise pour voir mieux. Elle et l’homme sont les deux très élégantes, mais c’est la femme qui a plus détails : les plumes sur le chapeau et sur les manches, les boucles d’oreille et les boutons sur les bottines.      




J’ai aimé aussi un autre tableau, « La parfumerie Violet » dont lumière est très diffèrent de la lumière de la région où moi et le peintre sommes vécu : ici, peut-être, il vient de pleuvoir. Une femme passe devant la parfumerie (elle devrait avoir fait déjà ses courses) tandis qu’une autre femme, plus élégante, regarde la vitrine et elle pense aux parfumes ou aux éventails qu’elle voudrait acheter.
Quand j’irai à Paris, je voudrais aussi m’arrêter devant un coin, comme De Nittis, et observer les parisiens !   

Vocabulaire utile
Peintre : painter
Tableau : painting
Style : style
Œuvre : work
Conquérir : to conquest
Debout : standing
Lumière : light

Tuesday, 8 July 2014

Il était une fois…





Le ville de Barletta se trouve prés de mon ville, San Ferdinando di Puglia, dans la région des Pouilles (Puglia), dans le sud-est d’Italie. Mais pourquoi est-ce que j’écris sur une ville italienne dans un blog sur la France ? La réponse est que chaque année, en Barletta, on célèbre une bataille qui, peut-être, n’est pas très connue en France.
Je parle de la défi de Barletta, une bataille entre 13 cavaliers françaises et 13 cavaliers italiens qui a passé le 13 février 1503.  Trois ans avant, avec le Traité de Grenade, la France de Louis XII et l’Espagne de Ferdinand II d'Aragon avaient partagé le royaume de Naples de Frédéric I de Naples et ils avaient pénétré dans son territoire. Bientôt, commencent des litiges pour l’interprétation du traité parce qu’il n’était pas claire sur la division de la Basilicate et la Capitanate (Pouilles). Pendant une de ces batailles, les espagnoles de Diego de Mendoza font prisonniers des français. Pendant une fête organisée pour les espagnoles dans une taverne de Barletta, un des cavaliers français prisonniers insulte les italiens en disant qu’ils sont lâche. L’espagnol défends les italiens et on décide faire un duel. Ettore Fieramosca, un des cavaliers italiens les plus courageux, accepte le défi.  On conviens que le cavalier vaincu perd ses armes et cheval et doit payer cent ducas. Il y a donc un tournoi entre 13 italiens et 13 français. Les italiens gagnent grâce à un stratagème et puisque les français étaient sûrs de la victoire et n’aient amené pas l’argent, ils sont emprisonnés à Barletta.
Dès lors, chaque année on célèbre la victoire dans la ville de Barletta. Cette année on a organisée une exposition de vêtements traditionnels du XVe siècle mais il y avait aussi saltimbanques, cracheurs de feu, échassiers et jongleurs. La célébration a été aussi une occasion aussi pour gouter les plats typiques de la ville et organiser des conférences ou on parle de la Renaissance et des défies du présent et du passé.

Un rêve dangereux





Aujourd’hui, avec le film « Comme un lion » que nos avons regardé en classe, j’ai découvert autre type de victime de la pauvreté : les rêves des jeunes joueurs de football de l’Afrique, poussés par les stars du football qui ont vécu en Afrique et qui s’ont expatrié en Europe mais qui ont eu la chance d’accomplir leurs rêves, comme Samuel Eto’o, Salif et Seydou Keïta, Salomon Kalou, « Baky » Koné, Yaya Touré. Dans le film « Comme un lion » aussi, il y a un « happy end » mais dans nombreux de cas la réalité est différent.
Le trafic et l’exploitation des jeunes africaines est un phénomène encore très courant. J’ai cherché des informations sur ce qui se passe quand les jeunes qui arrivent en France ne prennent pas le bon chemin. Comme dans le film, il y a des agents et recruteurs sur tout le continent africain qui disent aux jeunes qu’ils sont là pour chercher des joueurs pour des clubs français. Les agents demandent à les jeunes investir dans leur future en payant le billet de l’avion, en dehors de l’argent qu’ils doivent lui donner pour payer leurs logement et nourriture. Les familles voient ce chemin comme une façon pour sortir de la pauvreté, par conséquent elles s’endettent. Mais quand les jeunes arrivent en France, les agents les abandonnent sans argent dans la rue, donc ils deviennent souvent de sans-papiers qui sombrent dans le trafic de drogue ou dans la prostitution et voient ses destins brisés.
Cependant, il y a aussi des solutions a ces arnaques. J’ai découvert qu’il y a des associations qui aident les jeunes victimes des faux agents. Par exemple, Jean-Claude Mbvoumin, qui a été un joueur professionnel, il y a treize ans a créé une association, Culture Foot Solidaire, vise à protéger les droits de l’enfance, surtout avec des mesures préventives. L’association est soutenue par l’ONU, la Fifa, l’UEFA et pour la Confédération africaine de football (CAF).
Selon Mbvoumin, en dépit de l’article de la Fifa, qui interdit les transferts internationaux de mineurs de moins de 18 ans, il faut encore combattre pour endiguer le phénomène. Sa solution est former les joueurs dans leur pays d’origine dans un équipe national avant aller en Europe. Donc il faut organiser des championnats de jeunes et construire des écoles professionnels. En plus, il faut développer la prévention et aider les familles avec la vérification de l’identité des agents. Suivant, il demande aux jeunes rentrer à ses pays. Comme dans le film, ça n’est jamais une décision facile parce que rentrer avec un échec est une honte pour les jeunes et pour la famille qui s’a endetté pour eux.
Il y aussi autre assiciation, Diambars, fondée par d’anciens joueurs professionnels au Sénégal et en Afrique du Sud qui ont eu l’idée de créer une école de football pour scolariser les enfants et dans le même temps leur donner la chance pour pratiquer leur passion pour le football. En fait, son slogan est « le foot passion, un moteur pour l’éducation » afin de «  contribuer à l'éducation des enfants, au développement des pays, et du continent africain », comme les fondateurs expliquent dans le site Web de l’association.
Pour terminer, je pense que les exploitation des rêves est un phénomène complexe parce que n’est pas juste empêcher les jeunes africaines de réaliser ses rêves mais il faut les aider à réaliser d’une façon réaliste et sûr pour eux et leurs familles. Le travaille des associations ne suffit pas, ainsi il faut aussi collaborer étroitement avec les organisations internationales comme Onu et Fifa.