Tuesday, 8 July 2014

Un rêve dangereux





Aujourd’hui, avec le film « Comme un lion » que nos avons regardé en classe, j’ai découvert autre type de victime de la pauvreté : les rêves des jeunes joueurs de football de l’Afrique, poussés par les stars du football qui ont vécu en Afrique et qui s’ont expatrié en Europe mais qui ont eu la chance d’accomplir leurs rêves, comme Samuel Eto’o, Salif et Seydou Keïta, Salomon Kalou, « Baky » Koné, Yaya Touré. Dans le film « Comme un lion » aussi, il y a un « happy end » mais dans nombreux de cas la réalité est différent.
Le trafic et l’exploitation des jeunes africaines est un phénomène encore très courant. J’ai cherché des informations sur ce qui se passe quand les jeunes qui arrivent en France ne prennent pas le bon chemin. Comme dans le film, il y a des agents et recruteurs sur tout le continent africain qui disent aux jeunes qu’ils sont là pour chercher des joueurs pour des clubs français. Les agents demandent à les jeunes investir dans leur future en payant le billet de l’avion, en dehors de l’argent qu’ils doivent lui donner pour payer leurs logement et nourriture. Les familles voient ce chemin comme une façon pour sortir de la pauvreté, par conséquent elles s’endettent. Mais quand les jeunes arrivent en France, les agents les abandonnent sans argent dans la rue, donc ils deviennent souvent de sans-papiers qui sombrent dans le trafic de drogue ou dans la prostitution et voient ses destins brisés.
Cependant, il y a aussi des solutions a ces arnaques. J’ai découvert qu’il y a des associations qui aident les jeunes victimes des faux agents. Par exemple, Jean-Claude Mbvoumin, qui a été un joueur professionnel, il y a treize ans a créé une association, Culture Foot Solidaire, vise à protéger les droits de l’enfance, surtout avec des mesures préventives. L’association est soutenue par l’ONU, la Fifa, l’UEFA et pour la Confédération africaine de football (CAF).
Selon Mbvoumin, en dépit de l’article de la Fifa, qui interdit les transferts internationaux de mineurs de moins de 18 ans, il faut encore combattre pour endiguer le phénomène. Sa solution est former les joueurs dans leur pays d’origine dans un équipe national avant aller en Europe. Donc il faut organiser des championnats de jeunes et construire des écoles professionnels. En plus, il faut développer la prévention et aider les familles avec la vérification de l’identité des agents. Suivant, il demande aux jeunes rentrer à ses pays. Comme dans le film, ça n’est jamais une décision facile parce que rentrer avec un échec est une honte pour les jeunes et pour la famille qui s’a endetté pour eux.
Il y aussi autre assiciation, Diambars, fondée par d’anciens joueurs professionnels au Sénégal et en Afrique du Sud qui ont eu l’idée de créer une école de football pour scolariser les enfants et dans le même temps leur donner la chance pour pratiquer leur passion pour le football. En fait, son slogan est « le foot passion, un moteur pour l’éducation » afin de «  contribuer à l'éducation des enfants, au développement des pays, et du continent africain », comme les fondateurs expliquent dans le site Web de l’association.
Pour terminer, je pense que les exploitation des rêves est un phénomène complexe parce que n’est pas juste empêcher les jeunes africaines de réaliser ses rêves mais il faut les aider à réaliser d’une façon réaliste et sûr pour eux et leurs familles. Le travaille des associations ne suffit pas, ainsi il faut aussi collaborer étroitement avec les organisations internationales comme Onu et Fifa.

2 comments:

  1. Super intéressant! Tu as fait des recherches! Bravo! J'ai appris quelque chose en lisant ton blog. Est-ce que tu travailles pour une de ces associations?
    A bientôt
    P

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    1. J’ai beaucoup appris avec mes recherches aussi ! Non, je ne travaille pas avec ces associations mais j’aimerais les aider d’une manière ou d’une autre.

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