Aujourd’hui, avec le film « Comme un lion » que
nos avons regardé en classe, j’ai découvert autre type de victime de la
pauvreté : les rêves des jeunes joueurs de football de l’Afrique, poussés
par les stars du football qui ont vécu en Afrique et qui s’ont expatrié en
Europe mais qui ont eu la chance d’accomplir leurs rêves, comme Samuel Eto’o, Salif et
Seydou Keïta, Salomon
Kalou, « Baky » Koné, Yaya Touré. Dans le film « Comme un
lion » aussi, il y a un « happy end » mais dans nombreux de cas
la réalité est différent.
Le trafic et l’exploitation des jeunes africaines est un
phénomène encore très courant. J’ai cherché des informations sur ce qui se
passe quand les jeunes qui arrivent en France ne prennent pas le bon chemin.
Comme dans le film, il y a des agents et recruteurs sur tout le continent africain
qui disent aux jeunes qu’ils sont là pour chercher des joueurs pour des clubs
français. Les agents demandent à les jeunes investir dans leur future en payant
le billet de l’avion, en dehors de l’argent qu’ils doivent lui donner pour
payer leurs logement et nourriture. Les familles voient ce chemin comme une
façon pour sortir de la pauvreté, par conséquent elles s’endettent. Mais quand
les jeunes arrivent en France, les agents les abandonnent sans argent dans la
rue, donc ils deviennent souvent de sans-papiers qui sombrent dans le trafic de
drogue ou dans la prostitution et voient ses destins brisés.
Cependant, il y a aussi des solutions a ces arnaques.
J’ai découvert qu’il y a des associations qui aident les jeunes victimes des
faux agents. Par exemple, Jean-Claude Mbvoumin, qui a été un joueur
professionnel, il y a treize ans a créé une association, Culture Foot
Solidaire, vise à protéger les droits de l’enfance, surtout avec des mesures
préventives. L’association est soutenue par l’ONU, la Fifa, l’UEFA et pour la
Confédération africaine de football (CAF).
Selon Mbvoumin, en dépit de l’article de la Fifa, qui
interdit les transferts internationaux de mineurs de moins de 18 ans, il faut
encore combattre pour endiguer le phénomène. Sa solution est former les
joueurs dans leur pays d’origine dans un équipe national avant aller en Europe.
Donc il faut organiser des championnats de jeunes et construire des écoles
professionnels. En plus, il faut développer la prévention et aider les familles
avec la vérification de l’identité des agents. Suivant, il demande aux jeunes
rentrer à ses pays. Comme dans le film, ça n’est jamais une décision facile
parce que rentrer avec un échec est une honte pour les jeunes et pour la
famille qui s’a endetté pour eux.
Il y aussi autre assiciation, Diambars, fondée par
d’anciens joueurs professionnels au Sénégal et en Afrique du Sud qui ont eu
l’idée de créer une école de football pour scolariser les enfants et dans le
même temps leur donner la chance pour pratiquer leur passion pour le football.
En fait, son slogan est « le foot passion, un moteur pour
l’éducation » afin de « contribuer à l'éducation des enfants, au développement des pays, et du
continent africain », comme les fondateurs expliquent dans le site Web de
l’association.
Pour terminer, je pense que les
exploitation des rêves est un phénomène complexe parce que n’est pas juste
empêcher les jeunes africaines de réaliser ses rêves mais il faut les aider à
réaliser d’une façon réaliste et sûr pour eux et leurs familles. Le travaille
des associations ne suffit pas, ainsi il faut aussi collaborer étroitement
avec les organisations internationales comme Onu et Fifa.
Super intéressant! Tu as fait des recherches! Bravo! J'ai appris quelque chose en lisant ton blog. Est-ce que tu travailles pour une de ces associations?
ReplyDeleteA bientôt
P
J’ai beaucoup appris avec mes recherches aussi ! Non, je ne travaille pas avec ces associations mais j’aimerais les aider d’une manière ou d’une autre.
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